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 le hasard fait bien mal les choses

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Anonymous
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Ce message a été posté Sam 24 Juin - 17:41
Rhee Yeon
Kim Eun Jung
Le hasard fait bien mal les choses
tenue"Donc pour le prochain cours je veux que vous m'analysiez cet article sur les greffes de cœur. J'interrogerai pour savoir si vous avez bien tout compris, donc faites ce travail avec assiduité ! Bonne fin de semaine à tous !"

Quand j'eu fini ma phrase, les élèves rangèrent leurs affaires et quittèrent la salle en me saluant, sans pour autant retenir des petits murmures de mécontentement. Je ne peux m’empêcher de sourire. J'ai bien conscience que certains lycéens (si ce n'est une grande majorité) n'aiment pas avoir du travail à la maison. Je pensais comme eux quand des profs nous donnaient des devoirs dans des matières qui ne m’emballaient pas plus que ça. Mais il faut qu'ils apprennent à faire avec, on fait pas toujours ce qu'on veut dans la vie. Et ça, je l'ai bien compris.

Je termine de ranger mes propres affaires, avant de quitter à mon tour la salle de classe, sans oublier de verrouiller la classe derrière moi. Je jette un coup d’œil à ma montre. Les aiguilles indiquent 18h09. J'ai terminé les cours pour aujourd'hui, et comme je n'ai aucun cours de rattrapage de prévu ce soir, j'ai donc terminé ma journée. Du moins, officiellement. Il faut encore que je me rende à la bibliothèque universitaire afin de consulter quelques ouvrages pour préparer mes prochains cours de Zoologie sur la classification des Mammifères. J'ai encore quelques mois devant moi avant d'attaquer cette partie du programme avec mes étudiants de deuxième année, mais je préfère m'y prendre à l'avance. Cela me permet d'éviter un stress inutile.

Mon sac contenant mes cours à la main, je quitte le lycée pour me rendre à la bibliothèque universitaire. J'arrive finalement devant le bâtiment. J'entre, me retrouvant aussitôt englobée dans le royaume de silence qui règne à l'intérieur. C'est à peine si on entend les chuchotements des quelques élèves présents. Il n'y a plus d'examens en ce moment, donc le taux de fréquentation est plutôt faible, ce qui n'est pas pour me déplaire. Quand je travaille à la bibliothèque en période de révisions je suis régulièrement interrompue par des élèves ayant des questions par rapport à telle ou telle partie du cours. Je me fais toujours un plaisir de leur répondre, mais mon travail s'en trouve rapidement ralentit, si bien qu'au bout de 3 heures je n'ai généralement pas fini la moitié de ce que j'avais prévu. Au moins cette fois, les chances que je sois dérangée sont quasi nulles.

Je me dirige automatiquement vers les étagères consacrées aux sciences, et plus particulièrement à la Biologie et à la Zoologie. Je n'ai même pas besoin de réfléchir, je connais tellement ce coin de la bibliothèque que mes pas m'y conduisent directement. Je commence à inspecter les livres parfaitement alignés sur les étagères, à la recherche de celui qui m'intéresse. Concentrée, j'oublie totalement ce qu'il se passe autour de moi, un de mes doigts effleurant les reliures des ouvrages pour m'aider dans ma recherche. Je fini par trouver. Je tire de l'étagère un épais bouquin. Réalisant que je vais galérer à le transporter en plus de mon sac, je passe mon bras gauche dans la sangle de ce dernier afin de prendre le livre avec mes deux mains. Je me dirige ensuite vers une table libre, sur laquelle je m'empresse de déposer le pavé. C'est que c'est lourd ce truc ! Soufflant un peu, je m'assois sur la chaise et commence à sortir les affaires dont j'ai besoin. J'ai bien conscience que peu de professeurs préparent leurs cours directement à la bibliothèque, la plupart préfèrent emprunter les bouquins dont ils ont besoin pour aller travailler chez eux ou dans une salle de classe. Mais moi ça me plaît d'être ici. Je suis ainsi plus disponible pour les élèves s'ils ont besoin, et à mes yeux c'est quand même une de nos principales fonctions. On est ici pour aider les élèves avant tout, alors être disponible pour eux est la moindre des choses.

Le livre ouvert à la page d'un immense arbre phylogénétique sur les primates, je commence à compléter mon cours avec les informations dont j'ai besoin, tout en réfléchissant à comment je vais bien pouvoir motiver les étudiants à apprendre tous ces noms barbares par cœur. J'y suis passée avant eux, et franchement, c'est loin d'être une partie de plaisir. Tout en réfléchissant je lève la tête et je vois un étudiant passer non loin de la table où je suis installée. Dans un premier temps je ne réagis pas, puis je me fige, fixant l'étudiant avec des yeux écarquillés. Non, impossible ! C'est absolument impossible, ça ne peut pas être lui...
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Anonymous
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Ce message a été posté Dim 25 Juin - 21:08


Tu te souviens de moi ?


Comment ne le pourrais-tu pas ?


Tu viens de finir une longue et pénible journée de classe, comme d’habitude, il t’a fallu supporter toute ces choses bruyantes qui t’entourent : camarades, professeurs et tout autres passant de ta vie. Tu ne supportes que très peu les gens, leur vie ne t’intéresse pas. Cependant, tu joues le rôle du mec cool, du mec sympa et légèrement distant, parce que la réaction de ces êtres sans importances t’amuse et l’amusement, c’est un peu la seule chose sympa dans ta vie. Tu te rends en cours, tu es doué dans chaque matière, bonne parfois, il t’arrive de mettre un temps à comprendre certains court, mais puisque tu ne travailles plus que tu ne vis tout fini par se faciliter.

D’ailleurs, c’est justement parce que tu travailles autant que ce soir, tu décides de rester plus longtemps dans la bibliothèque, tu lis un livre tranquillement, il n’y a personne, tu auras donc enfin la paix après ces 8 heures de calvaires à supporter X et X personnes. Du moins, tu pensais être absolument tranquille, mais ce ne fut pas le cas. Un professeur arrive, elle semble presque surprise de te voir là, son visage ne t’est pas inconnu, tu tentes tant bien que mal de te remémorer le lieu où tu aurais bien pu la croiser.

Tu te souviens d’un moment dans une rue, une inconnue au cheveu décoloré, te raconter ces déboires, c’est elle, c’est cette prof. Non ! Mais c’est aussi chiant que génial ! Chiant parce qu’elle parle beaucoup trop, génial parce que cela va te faire un divertissement fort intéressant. Tu observes cette femme qui semble se souvenir de toi, d’ailleurs, tu as dû la foutre dans un taxi la dernière fois pour qu’elle te lâche la grappe ! Tu espères pouvoir le faire plus facilement cette fois.

- Ah madame-j’ai-beaucoup-trop-bus-et-je-raconte-ma-vie.

Un sourire s’encre sur tes lèvres, pas un sourire de politesse ou de réconfort, non-non ! Un sourire qui dit « Oui, tu étais absolument chiante et ridicule ». Pour la première fois, tu laisses passer un petit aperçut de ton vrai toi face à une charmante -quoi que pénible- inconnue. Par manque de chance pour Madame Kim Eun Jung, tu te souviens cruellement bien d’elle, de ça façon de se tenir sous l’ivresse, de ces vêtements, de la tête qu’elle avait faite quand tu l’avais obligé à monter dans ce taxi-sauveur.

- Vous êtes donc professeur dans cet établissement, vous l’avez fait exprès, c’est ça ? Ne me dîtes pas que vous allez encore me parler de vos déboires et tout autres choses qui ne concernent absolument que vous ?

Puis finalement, tu te pars de ton masque et tu lui offres un sourire amusé, tu t’excuses d’un geste et doucement, tu lui confies faussement :

- Ne vous en faite pas, je rigole, ce n’est pas la mort, personne ne seras au courant.

Peut-être qu’effectivement personne ne seras mise au courant, car tu ne parles à personne... Cependant non, tu ne rigoles pas, mais tu sais si bien jouer le rôle, faire le comédien, t’amuser et provoquer. Un vrai enfoiré dans le corps d’un ange. Ont ta toujours pris pour plus gentil, mais ce ne sont que des illusions pour distraire de la vérité un secret bien caché. Tu finis par retourner dans ton livre et espère d’une certaine façon qu’elle ne va pas se mettre à te raconter sa vie, parce que tu n'aimes pas ça, tu n'aimes pas les gens, t’aimes pas le monde. Tu t’aimes toi parce que tu n’es pas trop bruyant, mais cela s’arrête là. Fin avec ta mère et ta sœur bien sûr.

Après cette prof et belle, tu ne peux pas le nier, mais des qu’elle ouvre la bouche, elle perd tout son charme. C’est fou non ? Comment peut-elle te sembler si désarmé avec seulement des images du passé ? Tu chercherais presque à la rassurer pour simplement mieux la désarmer. Un jeu en soit assez mesquin, mais il t’anime ce jeu-là, il donne un sens à tes journées pas assez écourté.

- Vous êtes prof de quoi ici ?


Une prof blonde, jeune, canon... D’ailleurs ici tous les profs le sont ou quasiment. Bizarre non ?

by tris

Anonymous
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Ce message a été posté Dim 2 Juil - 22:53
Rhee Yeon
Kim Eun Jung
Le hasard fait bien mal les choses
tenue ♛ Pourquoi ? Pourquoi sur tous les étudiants, professeurs et employés de cette immense université il a fallu que je tombe sur lui ?! J'ai dû faire quelque chose d'horrible dans une vie antérieure, c'est la seule explication. Peut-être ai-je assassiné des millions d'innocents sans aucune pitié, et que j'en paye le prix aujourd'hui, dans cette bibliothèque. Oui c'est surement ça, c'est la seule explication que je trouve en tout cas. Sinon quelles auraient été les chances que je croise le type à qui j'ai raconté ma vie après avoir un peu trop bu ? Et qu'il soit élève dans l'établissement où j'exerce en tant que professeure ?! Pour la crédibilité on repassera. Ce gars-là m'a vu dans mon pire état, celui où je ressemblais plus à un déchet prêt à être recyclé qu'à un être humain. Oh mon Dieu, et en plus il m'a reconnu ! Quelle poisse je vous jure !

Je serre les poings à l'entente du surnom. Mais c'est qu'en plus, de tous les élèves, je suis tombée sur un sadique ! Et le pire c'est que je ne me rappelle même plus de son nom. A moins qu'il ne me l'ait jamais dit. J'avoue que les souvenirs de cette soirée sont très très flous. Pas assez pour que je l'ai oublié malheureusement. Je me rappelle m'être retrouvée dans ce petit bar de quartier, à boire comme une perdue pour noyer ma frustration de devoir devenir prof. Et une fois bien saoule, pour changer, j'ai eu la brillante idée de me balader dans la rue et d'accrocher la première personne qui passait à ma portée pour lui conter mes déboires. Mais qu'est-ce que je peux être conne quand je suis bourrée ! Promis, la prochaine fois je bois pas autant... Bon ok, je dis ça à chaque fois et je tiens jamais cette promesse, mais cette fois je me retrouve dans une situation pire qu’embarrassante. Dans mes souvenirs l'homme que j'ai abordé n'était pas un élève, j'étais même persuadé que c'était un homme d'environ mon âge, très séduisant, sans doute chef d'entreprise et avec beaucoup d'esprit. Ma vision devait sacrément être altérée, j'étais même persuadée qu'il était plus âgé que moi. Bon, il ne doit pas être beaucoup plus jeune, et il reste toujours aussi séduisant que dans mes souvenirs, sauf que ce n'est pas un chef d'entreprise avec beaucoup d'esprit mais un élève !

Raaah et il continue de se moquer de moi en plus ! Bon, Eun Jung ressaisis-toi, tu es une enseignante, il n'a aucun droit de te parler de la sorte, ce qui se passe en dehors de l'université reste en dehors de l'université, du moins ce serait  préférable. Hors de question que je me fasse martyrisée comme une ado en détresse par un étudiant. Je prends donc mon air le plus sérieux, me redresse sur ma chaise, et m'apprête à lui lancer une remarque cinglante sur son manque de respect évident envers un membre du corps enseignant quand il semble se reprendre. Il me rassure même en me disant que personne ne sera au courant. Alors là, je sais plus du tout quoi lui dire. Voilà trente secondes à peine il se moquait ouvertement de moi et voilà qu'il s'excuse et adopte l'attitude d'un élève modèle. C'est à n'y rien comprendre. Je fronce légèrement les sourcils. Ce changement brutal de comportement me perturbe. Mais peut-être s'est-il senti puissant l'espace de quelques minutes en sachant qu'il avait un moyen de  pression sur moi avant de réaliser ce qu'il risquait en me provoquant de la sorte. J'avoue que pour le moment j'ai un peu du mal à cerner ce jeune homme. Je finis par lancer, toujours un peu méfiante :

- Il serait en effet préférable que cet...incident reste entre nous.

Il retourne dans son livre, et un silence de plomb s'installe. Je ne parle pas, je suis suffisamment embarrassée comme ça. J'envisage même l'espace d'un instant de quitter la bibliothèque pour rentrer travailler chez moi, ou encore dans la salle de professeurs, mais je me ressaisis bien vite. De quoi est-ce que j'aurais l'air si je me mets à fuir devant un élève. J'ai tout de même ma fierté, même si elle est bien abîmée à cet instant.

Le silence se prolonge, et j'essaye désespérément de me reconcentrer sur mes cours, quand soudain il reprend la parole pour me demander ce que j'enseigne ici. Je lui réponds presque automatiquement :

- J'enseigne la biologie, la paléontologie et la zoologie.

Il faut vraiment que je me ressaisisse, je ne peux pas me permettre de perdre mes moyens de la sorte. Il suffit que je me dise que c'est un élève comme les autres, et tout ira pour le mieux non ? Oui, c'est la meilleure technique à adopter. Je colle donc un sourire aimable sur mon visage avant de reprendre :

- Mais ne vous en faites pas, je suis très différente de ce que vous avez pu apercevoir la dernière fois que nous nous sommes vus ? Et vous, en quoi êtes-vous étudiant ?

Oui, je le vouvoie. Je considère que les profs doivent eux aussi se montrer respectueux envers leurs étudiants, et comme je ne le connaît pas vraiment je me vois mal le tutoyer. De plus, ça me permet de mettre une légère distance, pour qu'il ne pense pas qu'à cause de ce fameux incident il peut se permettre toute familiarité avec moi. Oui c'est ça. Comme en cours, il faut poser le cadre pour éviter tout débordement. Enfin, si seulement il n'y avait pas eu de débordement de ma part lors de notre première rencontre, les limites seraient beaucoup plus clair. Et puis c'est étrange, mais j'ai un mauvais pressentiment. Son comportement quand il m'a reconnu ne me rassure pas du tout quant à sa conduite future, même s'il semble s'être calmé.

Codage par Libella sur Graphiorum


Anonymous
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Ce message a été posté Dim 9 Juil - 22:40


Tu te souviens de moi ?


Comment ne le pourrais-tu pas ?


Si toute la poisse du monde s’était actuellement abattue quelque part, il ne ferait aucun doute que c’est dans cette bibliothèque. Seulement, tu envois la malchance à cette professeur avec ces cheveux teints. Tu sais pertinemment jouer le jeu, arrêter à la limite, te jouer des autres et surtout jouer un rôle, comme un acteur confirmé. Tu ne laisseras personne rentrer dans ton jeu pour le briser, tu ne veux pas que le masque que tu portes si bien, tombe. Cette professeure vient de perdre absolument toute vraisemblance à tes yeux, d’ailleurs cela fait sûrement depuis le soir de votre rencontre qu’elle n’est plus crédible, avant d’avoir ouvert les lèvres avec sa façon de personne ivre de marcher, l’odeur de l’alcool... Rien que ça avait anéanti en elle, la possibilité infime de la tolérer en tant qu’être crédible. Encore que heureusement pour elle, elle reste une jolie femme. Toi sadique ? Peut-on réellement dire ça ? Aimes-tu faire souffrir les autres ? Leur malheur te plaît-il ? T’excites ? Réfléchissons... Oui.


Lors de votre rencontre, elle t’a tout de suite accosté, sans vraiment te laisser parler. Elle a monologuer en t’obligeant presque à l’écouter. Elle ne voulait plus te laisser, partir, ni même partir seule. Elle t’aurait sûrement scotché à un poteau pour que tu ne partes pas, seul un taxi avait réussi à te sauver de cet enfer qu’est d’écouter la vie de personne Ivre ou dans ton cas d’écouter quelqu’un tout court. Soudainement, elle prend un air sérieux qui selon toi n’as rien de très convainquant, mais tu te maîtrises pour ne pas gâcher ton image, elle se redresse, droite comme si cela pouvait changer la situation d’une quelconque façon, ce qui pour toi ne change pas grand chose. Cependant apparemment, tu te reprends juste à temps pour ne pas te faire corriger par Madame l’alcoolique. D’ailleurs, c’est ainsi que tu gagnes chaque partie, tu sais t’arrêter avant, tu ne peux être cerné et tu sais en jouer.

« Il serait, en effet, préférable que cet... Incident reste entre nous. » Forcément qu’il serait préférable pour elle, que cela reste ainsi, mais pour toi ? Qu’es que tu y gagnes ? Un ennui profond et désespéré. Tu hoches la tête, tu lui fais croire que rien ne sortira de tes lèvres et se seras peut-être le cas, peut-être que tu ne diras rien, peut-être que tu écriras, que tu as des photos ? Ok, tu n’as pas de photo, mais tu aurais pu. Puis une idée te vient, sûrement que ça mémoire est un peu flou.

- Je ne dirais rien... Puis je dirais à l’autre jeune homme de ne rien dire aussi. Je l’ai croisé ici. Bong Tae hyun est un gentil garçon, je suis sûr qu’il ne dira rien.

D’une phrase, d’un mouvement, tu affirmes que vous n’étiez pas seulement deux, tu pourrais actuellement raconter ce que tu veux et garder un air de, « C’est vrai ». D’ailleurs ton visage est si calme, si impassible est peu émotionnel. Bong Tae Hyun, un nom d’un garçon en médecine que, tu as donné un peu au hasard. Ainsi, les deux créas pourrons créer un lien amusant.

- De toute façon, je ne parle que très peu avec les autres.

Une vérité dans un flot de jeu, de mensonge. Il parle seulement pour jouer, pour travailler et casher. Elle t’avoue qu’elle enseigne la biologie, tu n’as pas ce genre de court, tu t’inscriras au « club » si cela existe. Pour quel but ? Seulement pour jouer, faire, chier ton monde.

- Je voulais justement chercher des clubs pour apprendre la biologie.

Tu ne diras pas à cette professeur la classe dans là quel, tu es, tu préfères de loin t’inventer une identité pour la laisser galérer à chercher ton vrai nom. Elle semble se rattraper, tenter de se sauver la face, ce qui en soit ne marche pas très très bien. Elle dit être très différente, toi aussi, tu l’es, sûrement plus qu'elle et toi ne t’imaginez. Elle te vouvois, pour toi ce n’est pas nécessaire de vous voyez car tu ne parles que de toi, tu ne parles pas directement des autres. Tu évites les phrases qui t’obligent à t’adresser aux autres, tu n’en as pas envie.

by tris

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